


De quels fantasmes tissés dans ma toile
A quels égarements ,noués comme un voile
Le songe-t-il,solitaire dans la nuit blanche?
Quand tout fût étreint,lorsque tout fût dit,accompli
Comme un souffle agoni
se pose alors sur ma hanche;
d'un rêve comme une mousse,une main si douce
que l'endormie en a gémit...
Ahhh,cette main chaude comme la promesse d'une infinie caresse...