vendredi 22 mai 2009

FRAGANCES ET VETIVER...

Lorsque ça gigote
et que ça chauffe...
Laisser aller
Jusqu'à la brulure
sans crainte de rupture.
Comme ce cri que tu pousses
Sur le souffle de mon tambour.
Je shoote dans ce qui m'ardente
Et j'irradie ,et me relève ,ivre,
les lèvres en tempête.
Je me ré-jouis
Et te re-joins
Te voir
Allongé en rouge
Assoiffé en bleu
de ce bleu élagué...et...
...filtré de lumière.
.................
Les replis de ton parfum
insinués à la saillie de ma peau.

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