Certaines journées,la solitude est longue à apprivoiser.Je SUIS ce fil complexe du rejet à l'acceptation,et quand enfin le plaisir est au rendez-vous,je jubile,quand je peux ouvrir les yeux sur cette brise légère qui parfume le café pris à la terrasse,je peux sourire à la horde de touristes venus admirer la Maison Carrée et me surprendre à la contempler d'un autre regard,je peux sentir l'ombre sans la redouter et accueillir ce chaos sensoriel.
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