vendredi 31 octobre 2008
SCENE D'AMOUR(Louzla Darabi)
oui
ce soir
est le
soir
de toi
souffrance
sublime
ex..haltation
il faudra s'habituer à l'absence
à la déraison
et à la saoulitude
et à la sublimation
Je suis
un carré NOIR et solitaire
et pourtant solidaire
Dans le froid
et dans l'habitude
je me lis
m'enlise aussi
Tu sais
Tu ne sais pas
Ce qui me lis
Ce qui me lie
Oui c'est toi
et pourtant
Je partage
Noyée dans ce nuage (ohhh oui c'est fa-cile...)
Je n'y peux rien
Ou du moins
tu es si loin
Noyée
Oh...oui
Noyée
Qu'importe
Je le veux bien
Transportée
Transposée
sur ce monde
Je ne reconnais rien
Et pourtant
je crois
que je te connais
Bien...
Le désert
La solitude
L'espérance....
Mon Namour...
EXTRAIT DE CARNET D'A:Le Carré Noir
A TOUS,A TOUT...
oui allez y pour y voir
car je suis de nature
généreuse
et que ce que j'aime
et que ceux que j'aime
il faut partager...
car je suis de nature
généreuse
et que ce que j'aime
et que ceux que j'aime
il faut partager...
ADDICTIONS
Je me fous du rationnel
Du...les pieds sur terre
D'être dans le tunnel(même en or)
Moi ce que j'aime
C'est de rêver
C'est de me laisser aller
C'est de prendre la vague
C'est de te parler
Jusqu'au finfond de la nuit
jusqu'à ce que tes yeux deviennent oranges
Comme ceux du chat...
Musique,couleurs,fumées,alcools,courir,aimer,crier,créer,jouir,partir...
Toutes les addictions
J'abandonnerais
Mais une seule
Je garderais...
Toi.
Du...les pieds sur terre
D'être dans le tunnel(même en or)
Moi ce que j'aime
C'est de rêver
C'est de me laisser aller
C'est de prendre la vague
C'est de te parler
Jusqu'au finfond de la nuit
jusqu'à ce que tes yeux deviennent oranges
Comme ceux du chat...
Musique,couleurs,fumées,alcools,courir,aimer,crier,créer,jouir,partir...
Toutes les addictions
J'abandonnerais
Mais une seule
Je garderais...
Toi.
EXTRAIT DE CARNET D'A.:La Fièvre
vendredi 17 octobre 2008
VELOURS DES VIERGES
Toi qui rêves au velours des vierges Aux satins innocents
Ces jeunes sirènes émergent D'un océan de sang
Regarde-les s'approcher Comme légions d'amazones
Venues braver les cyclones Jeunes et brillants archers
Leur arc et leurs yeux bandés S'aventurant dans des zones
Inexplorées
Toi qui rêves au velours des vierges Aux satins innocents
Ces jeunes sirènes émergent D'un océan de sang
Vois-tu là-bas leurs chevaux Courir un vent de folie
La hargne de ces furies Leur passant par les naseaux
Ils se jettent à l'assaut Se ruant à l'agonie
Au grand galop
Toi qui rêves au velours des vierges Aux satins innocents
Ces jeunes sirènes émergent D'un océan de sang
Cohortes en rangs serrés S'éloignent les filles d'Eve
A la lueur de ton glaive Va-t'en compter les blessés
Là-bas l'un s'est relevé Et te supplie dans ton rêve
De l'achever
Toi qui rêves au velours des vierges Aux satins innocents
Tes romans-fleuves ont des berges Aux sables émouvants
GAINSBOURG
dimanche 5 octobre 2008
Inscription à :
Articles (Atom)